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08/05/2013

POLLUTION DES RIVIERES DE FRANCE §

MessageSujet: Re: POLLUTION    Aujourd'hui à 11:03 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message Supprimer ce message

http://www.agirpourlenvironnement.org/communiques-presse/...

Décret nitrate : Encore un nouveau « reporc » !
04/09/2013
Agir pour l'Environnement

Les ministres de l'écologie et de l'agriculture viennent de publier un nouveau décret relatif aux programmes d'actions contre les nitrates d'origine agricolemodifiant le décret du 10 octobre 2011.



Les ministres de l'écologie et de l'agriculture viennent de publier un nouveau décret relatif aux programmes d'actions contre les nitrates d'origine agricole modifiant le décret du 10 octobre 2011.
Non content de reporter une nouvelle fois la date limite pour l'entrée en vigueur du programme d'actions régional contre les nitrates au 31 août 2014, le Gouvernement n'a pas osé remettre en cause les assouplissements adoptés par la précédente majorité.
Pour Agir pour l'Environnement, « l'objet implicite de ce nouveau décret est une nouvelle fois de gagner du temps afin de tenter d'éviter une condamnation de la France pour non respect de la directive « Nitrate ». Ce nouveau « reporc » donne pleine satisfaction aux tenants d'un élevage industriel dont les effets sur le bien-être animal, sur l'environnement et sur la qualité de l'eau ne sont plus à démontrer. »
Avec l'adoption de ce nouveau décret, le changement politique promis pendant la campagne présidentielle semble définitivement se conjuguer au futur.
Il ne fait guère de doute que ce décret n'évitera pas une condamnation de la France à de lourdes sanctions financières européennes. Le kilo de porc est donc payé quatre fois : par le consommateur, par le malade, par les régions et départements obligés d'engager des sommes abyssales en dépollution des eaux et des côtes, par l'Etat qui ne manquera pas d'être condamné pour son attentisme coupable ! 
Alors même que la conférence environnementale est censée aborder la politique de l'eau dans l'une des tables rondes, il est peu de dire que la publication de ce décret est un bien mauvais signal.
Pour Agir pour l'Environnement, l'élevage industriel ne survit qu'à grand coup de subventions cachées et de "restructurations" économiques désastreuses, conséquences de la course au gigantisme. Il est grand temps de mettre un terme à ce dumping écologique et social en favorisant un élevage plus respectueux du bien-être animal, des écosystèmes et des éleveurs eux-mêmes.

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http://www.confederationpaysanne.fr/actu.php?id=1831&...

confedaration.jpg




Vu sur le site de la 

CONFEDERATION PAYSANNE :

PESTICIDES

Trop de cours d’eau français

empoisonnés aux pesticides



30.07.2013 Les chiffres 2011 publiés ce mois-ci par le Commissariat général

au développement durable sont édifiants. Des pesticides ont été retrouvés

sur 93% des points de contrôle dans les cours d'eau de France, dont 30%

à un niveau

qui rend l'eau impropre à la consommation. En parallèle, l'utilisation de

pesticides a

augmenté de 7% entre 2010 et 2011. C'est la conséquence d'un modèle

agricole

productiviste développé ces dernières décennies sous l'influence de

l'agro-chimie.

Les agriculteurs et les habitants des zones rurales agricoles en sont

les premières victimes.

L'empoisonnement impuni de notre milieu ambiant et de notre

alimentation,

l'augmentation des maladies professionnelles en lien avec l'usage

des pesticides,

la disparition de nombreuses espèces animales, le coût de la dépollution...

ne sont plus admissibles

Ces chiffres démontrent aussi l'aspect en partie irréversible de la contamination.

Parmi les 15 pesticides les plus présents dans les cours d'eau français,

trois sont des substances aujourd'hui interdites. L'une d'elle l'est depuis 10 ans.

Il faut d'urgence mettre en place une politique qui permette aux paysans de

s'affranchir progressivement de ces produits néfastes pour leur santé et qui

pèsent lourd dans leur budget. La PAC* doit servir de levier pour aller dans

ce sens. En outre, il faut favoriser l'utilisation des Préparations naturelles peu

préoccupantes (PNPP*) en les affranchissant des procédures d'autorisations

de mise sur le marché conçues pour n'accepter que des produits chimiques brevetés.

Plus globalement, il faut soutenir un modèle agricole qui soit respectueux des

paysans, de la santé des consommateurs et de l'environnement.

POUR ALLER PLUS LOIN
LE SYNDICAT PRÈS DE CHEZ VOUS
Pour connaître la délégation locale la plus proche :
LE MENSUEL DE LA CONFÉDÉRATION PAYSANNE
CAMPAGNES SOLIDAIRES
Un regard sur la précarité agricole
n° 286 - juillet 2013 
LA CONF SUR LE WEB
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