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10/15/2014

Pollution des riviéres par pesticides

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08/02/2014

inondations fin 07/2014



Béthune : Artois Comm. nettoie et établit un diagnostic après les inondations

PUBLIÉ LE 01/08/2014 - MIS À JOUR LE 01/08/2014 À 19:27
PAR STÉPHANE LEULIER


[size=13]Suite aux inondations du mois dernier, trois points noirs ont été identifiés. Quoi faire et comment ? La question à laquelle doivent répondre Artois Comm. et la ville de Béthune. Mais pour établir un diagnostic, il faut avant tout nettoyer.[/size]

 

[size=16]Depuis lundi, les agents d’Artois Comm. nettoient les canalisations, tout en établissant un diagnostic visuel. Mercredi, une fois l’opération de nettoyage terminée, ce sera au tour des robots armés de caméras de livrer leurs observations. Utile ? Pour le moins, lorsque l’on sait que les agents ont déjà retrouvé une brouette dans les canalisations…[/size]

 


[size=16]Trois points noirs ont été identifiés suite aux deux averses qui ont causé des inondations en quinze jours : la rue du Rivage jouxtant la place du Général-de-Gaulle, la rue de Vaudricourt dont le problème de surélévation de la route par rapport aux trottoirs rend le problème récurrent, et le bas de la rue du Faubourg-d’Arras.
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[size=16]Place du Général-de-Gaulle, hier matin, Artois Comm. et la ville de Béthune étaient main dans la main. « Ici, depuis que le réseau a été refait en 2000, c’est la première fois qu’il y a eu des inondations, relevait Bernard Blondel, vice-président d’Artois Comm. en charge de l’assainissement. 
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[size=16]Nous nous sommes donné quelques jours d’investigations. » Le nettoyage des canalisations a lieu une fois par an. Artois Comm. se défend d’un défaut d’entretien. Le vrai problème, ce n’est pas le réseau unitaire d’un mètre de diamètre. C’est l’intensité des précipitations. « Dans nos calculs, c’est une pluie décennale », explique Bernard Blondel. Une pluie exceptionnelle qui ne peut pas justifier l’installation d’une canalisation de trois mètres de diamètre.[/size]

 


[size=19]Le bassin d’orage à l’horizon 2015-2016

Faire mieux avec l’existant. Tout l’enjeu de ce diagnostic. « Manque-t-il quelques bouches d’égouts pour une meilleure évacuation ? », s’interroge l’élu de l’intercommunalité.[/size]

 

[size=16] Cette question fera l’objet d’une réflexion après le passage de la caméra. La certitude, c’est que le bassin d’orage prévu au stade Léo-Lagrange n’aura aucune incidence sur ce secteur. Son utilité se ressentira avenue Sully et rue d’Aire. « Il pourra accueillir 8 000 m3. Le surplus d’eau y sera provisoirement recueilli avant d’être remis dans le réseau normal pour y être traité. Nous sommes d’accord sur le terrain. il nous reste à mettre œuvre le projet et le soumettre à l’Agence de l’eau. Il devrait voir le jour à l’horizon 2015-2016. » [/size]




[size=16]Coût total : 7 millions d’euros, donc 3 supportés par Artois Comm.[/size]



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Béthune - Inondation




IL FAUT SAVOIR QUE SANS CE SYPHON C 'EST A LOCON QUE NOUS AURIONS CES DECHETS 


ET  TRES RAPIDEMENT TOUTE CETTE EAU   !!!!
 TOUT CE QUI EST A BETHUNE DOIT RESTER A BETHUNE  lol! 


LE BAS PAYS N'EST PAS LA POUBELLE DU BRUAISIS ET DU BETHUNOIS !

07/25/2014

LOI SUR UTILISATION DES PESTICIDES

Le Sénat adopte le projet de loi sur l'agriculture en protégeant les habitations des pesticides

Le Sénat a adopté hier soir en deuxième lecture le projet de loi d'avenir pour l'agriculture, l’alimentation et la forêt après avoir voté un amendement visant à limiter la dissémination des pesticides hors des parcelles agricoles lorsqu'elles se trouvent à proximité d'habitations. L'ensemble de la gauche (PS, écologistes, communistes et radicaux de gauche) a voté pour le texte, tandis que l'UMP a voté contre et que l'UDI s'est abstenue.
Les sénateurs avaient débuté vendredi l'examen de ce projet de loi, adopté en première lecture en janvier par les députés et en avril par les sénateurs, puis en deuxième lecture le 10 juillet dernier par l'Assemblée nationale.
L'amendement socialiste adopté hier soir, avec l'accord du ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, permet aux autorités d'encadrer le recours aux produits phytosanitaires pour éviter leur dissémination hors de la parcelle agricole « en particulier lorsque la zone à traiter est située à proximité d'un bâtiment d'habitation ». Les sénateurs ont aussi conservé les dispositions introduites dans le texte par les députés restreignant l’usage des pesticides près des lieux sensibles, comme les écoles ou les hôpitaux (lire Maire info du 10 juillet).
Le texte comporte par ailleurs plusieurs dispositions visant à renforcer la lutte contre l’artificialisation des sols. Dans chaque département sera ainsi créée une commission départementale de la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers, présidée par le préfet, associant notamment des représentants de l’Etat, des collectivités territoriales et de leurs groupements ou des professions agricole et forestière. Elle émettra entre autres des avis sur l’opportunité, au regard de l’objectif de préservation des terres agricoles, de certaines procédures ou autorisations d’urbanisme. Les sénateurs ont également prévu que « toute élaboration d’un plan local d’urbanisme d’une commune située en dehors du périmètre d’un schéma de cohérence territoriale approuvé et ayant pour conséquence une réduction des surfaces des espaces naturels, agricoles et forestiers » soit « soumise pour avis » à ces commissions départementales. Ils ont également confirmé l’extension des missions des Safer (sociétés d’aménagement foncier et rural).
Rappelons que l’ensemble du texte vise essentiellement à donner une orientation plus écologique à l'agriculture, en particulier grâce à la création de groupements d'intérêt économique et environnemental (GIEE).
En raison des différences entre les versions du Sénat et de l’Assemblée nationale, une commission mixte paritaire députés-sénateurs va tenter d'arriver demain à un compromis. En cas de succès de cette CMP, le projet de loi sera définitivement adopté jeudi par le Sénat et en septembre par l'Assemblée. En cas d'échec, l'Assemblée aura le dernier mot, après la pause estivale.

Consulter le texte adopté.